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Photographie | Art contemporain | Clip art | Lumière | Art de la lumière | Éclairage -- Effets spéciaux | Montréal (Canada) | Stations de métro | Peinture | Ombres | Lumière du jour | Gravure | Optique | Ampoules électriques | Arts du spectacle et technologie | Géométrie | Spectacles d'effets lumineux | Éclairage artificiel | Dix-huitième siècle | Art optique | ...
Ampoule allumée. Source : http://data.abuledu.org/URI/540780d8-ampoule-allumee

Ampoule allumée

Ampoule allumée.

Ampoule allumée. Source : http://data.abuledu.org/URI/5435780b-ampoule-allumee

Ampoule allumée

Ampoule allumée.

Banc sur boules lumineuses. Source : http://data.abuledu.org/URI/5386ff37-banc-sur-boules-lumineuses

Banc sur boules lumineuses

Banc sur boules lumineuses, par l'artiste autrichien Manfred Kielnhofer.

Cessez l'feu. Source : http://data.abuledu.org/URI/553eb3e8-cessez-l-feu

Cessez l'feu

Utilisation d'un bâton-artifice par la compagnie Cessez L'Feu dans le cadre de son spectacle "Pyrotronic".

Chambre noire. Source : http://data.abuledu.org/URI/526e2ae2-chambre-noire

Chambre noire

Chambre noire, ou optique (Camera obscura, Science Museum de Londres). Proche du modèle « Canaletto » conservé au Museo Correr de Venise et utilisé par Canaletto. La chambre noire ou chambre optique (en latin camera obscura), est un instrument d'optique utilisé fréquemment en peinture pour obtenir une image fiable de la réalité. Le dispositif consiste en une lentille, et éventuellement d'un miroir. La scène réelle est focalisée, au moyen de la lentille, et projetée sur un plan sur lequel le peintre peut, après avoir fixé une feuille de papier, retracer les contours. Pour faciliter la vision, le plan de projection est enfermé dans un caisson qui l'abrite de la lumière extérieure, d'où l'adjectif de chambre obscure. Le croquis obtenu peut être ensuite, dans l'atelier du peintre, reporté et peint sur la toile. Canaletto est un utilisateur systématique de ce dispositif.

Composition monumentale de Vasarely en Hongrie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53860d1f-composition-monumentale-de-vasarely-en-hongrie

Composition monumentale de Vasarely en Hongrie

Œuvre de Vasarely (1908-1997) devant l'église Pálosok (Pálosok templom), rue János Hunyadi (Hunyadi János utca), à Pécs, en Hongrie. Op art, ou art optique, est une expression utilisée pour décrire certaines pratiques et recherches artistiques faites à partir des années 1960, et qui exploitent la faillibilité de l'œil à travers des illusions ou des jeux optiques. Les œuvres d'op art sont essentiellement abstraites. Les pièces donnent l'impression de mouvement, d'éclat de lumière et de vibration ou de mouvements alternés. Ces sollicitations visuelles placent le corps du spectateur en situation instable, entre plaisir et déplaisir, plongé dans une sensation de vertige proche de certains états d’ivresse légère. Ce phénomène est parfois renforcé par le caractère monumental des pièces, parfois des environnements, voire dans le cas d’art opticocinétique de réelles sources de lumière jaillissant de l’ombre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Op_Art

Décoration murale au métro de Montréal. Source : http://data.abuledu.org/URI/59788ded-decoration-murale-au-metro-de-montreal

Décoration murale au métro de Montréal

Murale d'Aurelio Sandonato, 1984, de la station du Collège à Montréal. Dans la continuité du mur, l'œuvre est composée de blocs de terre cuite, mis en relief par des jeux d'ombre et de lumière.

Franklin Benjamin et le changement d'heure. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dab4ef-franklin-benjamin-et-le-changement-d-heure

Franklin Benjamin et le changement d'heure

Première page de la lettre de Benjamin Franklin au "Journal de Paris", 26 avril 1784, (publiée en traduction française) mentionnant pour la première fois la possibilité de décaler les horaires afin d’économiser l’énergie. Cette lettre est une satire proposant différents méthodes pour réveiller les parisiens de bonne heure le matin pour économiser les chandelles et profiter de la durée d'ensoleillement : "Messieurs vous nous faites souvent part des découvertes nouvelles ; permettez-moi de vous en communiquer une dont je suis moi-même l’auteur, et que je crois pouvoir être d’une grande utilité. Je passais il y a quelques jours, la soirée en grande compagnie, dans une maison où l’on essayait les nouvelles lampes de MM. Quinquet et Lange ; on y admirait la vivacité de la lumière qu’elles répandent mais on s’occupait beaucoup de savoir si elles ne consumaient pas encore plus d’huile que les lampes communes, en proportion de l’éclat de leur lumière, auquel cas on craignait qu’il n’y eût aucune épargne à s’en servir : personne de la compagnie ne fut en état de nous tranquilliser sur ce point, qui paraissait à tout le monde très important à éclaircir, pour diminuer, disait-on, s’il était possible, les frais des lumières dans les appartements, dans un temps où tous les autres articles de la dépense des maisons augmentent si considérablement tous les jours..."

Gardiens du temps. Source : http://data.abuledu.org/URI/5387000c-gardiens-du-temps

Gardiens du temps

Gardiens du temps, de l'artiste autrichien Manfred Kielnhofer, festival de la lumière de Berlin 2001.

Les Fenêtres simultanées sur la ville. Source : http://data.abuledu.org/URI/53447637-les-fenetres-simultanees-sur-la-ville

Les Fenêtres simultanées sur la ville

"Les Fenêtres simultanées sur la ville", 1912 par Robert Delaunay (1885-1941). Robert Delaunay passe à l'abstraction avec la série "Les Fenêtres", présentée de 1912 à 1913. Elle inaugure une longue série de recherche sur la possibilité de traduire l'harmonie représentative, par le seul agencement des couleurs. Les couleurs remplacent les objets, qui n'ont plus de substance et laissent la place à la lumière. Ce passage à l'abstraction se fait après la lecture des théories de Vassily Kandinsky dans son livre manifeste "Du spirituel dans l'art", et alors que Guillaume Apollinaire diagnostique en 1912 la naissance d'un nouvel art pictural : "Les peintres nouveaux peignent des tableaux où il n'y a plus de sujet véritable". Mais, contrairement à Vassily Kandinsky qui donne un contenu psychologique et mystique à ses œuvres, Robert Delaunay n'exploite que l'effet purement physique. Il s'explique en s'inspirant d'un texte de Léonard de Vinci : "L’œil est notre sens le plus élevé, celui qui communique le plus étroitement avec notre cerveau, la conscience. L'idée d'un mouvement vital du monde et son mouvement est simultanéité. Notre compréhension est corrélative à notre perception". À cette époque, Delaunay fait également de nombreuses recherches sur les couleurs et plus précisément sur la loi du contraste simultané des couleurs. Avec Sonia Delaunay, il crée le simultanéisme, une technique qui vise à trouver l'harmonie picturale grâce à l'agencement simultané des couleurs, et qui se concentre essentiellement sur le rôle de la lumière, qui est perçue comme principe créateur originel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Delaunay

Lithophanie de Wedgwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/5230bee5-lithophanie-de-wedgwood

Lithophanie de Wedgwood

Lithophanie de Wedgwood représentant la danse des trois Heures, filles de Zeus (allégories des saisons). Étymologie : du grec lithos, « pierre » et phanes et phaneia, de phainein « paraître », plaque de biscuit de porcelaine non émaillée et non vitrifiée ou d'albâtre, incisée et gravée de sorte à ce qu’elle permette de faire apparaître une image par translucidité devant une source de lumière, plus l’épaisseur de la plaque étant fine, plus la translucidité étant marquée. Par le mot Heures (en latin Horae et en grec ancien Ὧραι / Hōrai), les Grecs, primitivement, désignèrent, non pas les divisions du jour, mais celles de l'année. Les Heures étaient filles de Zeus et de Thémis. Hésiode en compte trois : Eunomie, Dicé et Eiréné, c'est-à-dire le Bon Ordre ou la Législation, la Justice et la Paix, noms indiquant leur rôle moral. Homère les nomme les portières du ciel, et leur confie le soin d'ouvrir et de fermer les portes éternelles de l'Olympe. Elles sont aussi les régulatrices de la vie humaine. La mythologie grecque ne reconnut donc d'abord que trois Heures ou trois Saisons : le Printemps, l’Été et l'Hiver.

Lumière passant à travers des fenêtres. Source : http://data.abuledu.org/URI/503941eb-lumiere-passant-a-travers-des-fenetres

Lumière passant à travers des fenêtres

Photo prise dans la salle des pas perdus à la gare de Chicago en 1943.

Lumières de manège en action. Source : http://data.abuledu.org/URI/5486d4e6-lumiere-de-manege-en-action

Lumières de manège en action

Lumières de manège en action, à Dülmen (arrondissement de Coesfeld), Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Allemagne).

Lumières du palais présidentiel en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/5039424a-lumieres-du-palais-presidentiel-en-inde

Lumières du palais présidentiel en Inde

Photo de nuit du palais présidentiel Indien.

Matin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5026d1b4-matin
Nuit-jour-soleil. Source : http://data.abuledu.org/URI/5026e48b-nuit-jour-soleil
Ombre et lumière. Source : http://data.abuledu.org/URI/5929f131-ombre-et-lumiere

Ombre et lumière

La séparation entre Ombre et lumière, Genesis, Paul Nash.

Panneaux de faïence iraniens. Source : http://data.abuledu.org/URI/530c78cb-panneaux-de-faience-iraniens

Panneaux de faïence iraniens

Deux panneaux en carreaux de faïence peints. Iran, première moitié du XIXe siècle. Dimensions des panneaux en cm : 81,5 x 30,5. Période Qajar (couleur rose, lumière), en prolongement de la tradition Safavid du XVIIème siècle. Oeuvre réalisée à la demande de Loftali, après son pélerinage à Mashhad.

Planche de Cubomedusae en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2a39-planche-de-cubomedusae-en-1909

Planche de Cubomedusae en 1904

Planche de cubomedusae, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 78 : Chirodropus palmatus,Chiropsalmus quadrigatus, Charybdea obeliscus, Charybdea murrayana, Procharybdis tetraptera, Tamoya prismatica. Le cubozoaire (Cubozoa), appelé aussi méduse-boîte est un invertébré de la classe des cnidaires qui se distingue des autres méduses par la forme de son ombrelle en forme de cube. La méduse-boîte est connue pour son venin extrêmement puissant produit aussi par certaines espèces : Chironex fleckeri, Carukia barnesi et Malo kingi qui sont parmi les créatures les plus venimeuses au monde. Les piqûres de ces espèces ainsi que quelques autres de cette classe sont extrêmement douloureuses et souvent mortelles pour les humains. À l'intérieur de l'ombrelle se trouve un volet ou « velarium » qui sert à concentrer et augmenter l'écoulement de l'eau expulsée par l'ombrelle. En conséquence, la méduse-boîte peut se déplacer plus rapidement que les autres méduses. Des vitesses jusqu'à six mètres par minute ont été enregistrées. Le système nerveux de la méduse-boîte est plus développé que celui des autres méduses. Elle possède notamment un anneau nerveux autour de la base de l'ombrelle qui coordonne ses mouvements de pulsations ; lors que d'autres méduses ont simplement un pigment oculaire, les méduses-boîtes sont uniques du fait de la possession de vrais yeux avec rétines, cornées et lentilles. Leurs yeux (en grappes) sont situés sur chacun des quatre côtés de leur ombrelle. Ceux-ci permettent de voir les points spécifiques de la lumière, plutôt que de simplement distinguer la lumière ou l'obscurité. Les méduses-boîtes ont aussi des yeux de type "inférieur", parce que les gros yeux (visuellement "forts") ne sont qu'un des quatre sous-ensembles. Au total elles ont 24 yeux. Une autre particularité intéressante est que la méduse-boîte a quelque chose dans son organisme que l'on peut considérer comme un cerveau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cubozoa

Portrait de Benjamin Franklin en 1767. Source : http://data.abuledu.org/URI/537a0612-benjamin-franklin

Portrait de Benjamin Franklin en 1767

Portrait de Benjamin Franklin en 1767 par David Martin (1737–1797). Benjamin Franklin (1706-1790), philosophe, physicien, publiciste. - Homme d'État. - Imprimeur. - Auteur de dessins. - Membre associé de l'Académie des sciences (élu en 1772 et en 1785). Traduction de notes tirées de "Art in the White House, A Nation's Pride" (L'art de la maison Blanche : la fierté d'une nation) par Kloss, William et coll : Le portrait de Benjamin Franklin a été commandé par Robert Alexander, de la firme William Alexander & Sons, à Édimbourg. L'impressionant document couvert de scellés que tient Franklin dans le portrait n'est pas un traité ni un délibéré du parlement, mais un acte notarié produit par le commanditaire...! Les autres livres suggèrent la culture nécéssaire au jugement d'un homme sage. Le buste de Newton, dont le regard est directement tourné vers Franklin, évoque l'un des sommets de la raison anglaise. Ce portrait est fermement ancré dans la pensée des lumières. La pression du pouce sur le menton exprime la pression de la pensée concentrée, et le reflet des lunettes de Franklin sur sa pommette renforce cet effet. Pour cette raison, ce portrait a parfois été appellé "Le portrait au pouce". Source : The White House Historical Association.

Première d'Harry Potter 2007 à Tokyo. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cde13f-harry-potter-2007-tokyo-premier-searchlights-1-jpg

Première d'Harry Potter 2007 à Tokyo

Faisceau de canons à lumière ; l'évènementiel justifie parfois une surenchère de technologie et de consommation d'énergie pour se rendre visible dans la nuit, et non pour des besoins d'éclairage : Tokyo Juin 2007, pour la première de Harry Potter et l'Ordre du Phénix.

Publicité italienne pour le gas aérogène en 1902. Source : http://data.abuledu.org/URI/57067856-publicite-italienne-pour-le-gas-aerogene-en-1902

Publicité italienne pour le gas aérogène en 1902

Affiche publicitaire pour le gas aérogène d'Antonioli à Milan, Italie : Lumière, Énergie, Chaleur. Source : AAVV. Un secolo di manifesti. Milano, Alberto Maioli Editore - Canova. 1996.

Relief négatif positif dans le métro de Montréal. Source : http://data.abuledu.org/URI/5978779a-relief-negatif-positif-dans-le-metro-de-montreal

Relief négatif positif dans le métro de Montréal

Relief, négatif positif de Yves Trudeau dans la station Côte-Vertu du Métro de Montréal : Des plaques d'acier inoxydable sont disposées sur le mur de la passerelle. Les plis et les différents finis créent des jeux de lumières et de couleurs. Yves Trudeau, 1986.

Sculpture dans le métro de Montréal. Source : http://data.abuledu.org/URI/59782423-sculpture-dans-le-metro-de-montreal

Sculpture dans le métro de Montréal

Station Champ de Mars du métro de Montréal : Ensemble de plaques de laiton verticales reflétant la lumière. Hommage à Marcelle Ferron, par Jacques Bilodeau, "Un solide" 2015.

Soleil. Source : http://data.abuledu.org/URI/5027b142-soleil
Station de métro De la Savane à Montréal. Source : http://data.abuledu.org/URI/597880b6-station-de-metro-de-la-savane-a-montreal

Station de métro De la Savane à Montréal

''Calcite'' de Maurice Lemieux, 1984, Station de métro De la Savane à Montréal : Sculpture en acier inoxydable reflétant les rayons du soleil provenant du puits de lumière situé au-dessus.

Synthèse additive des couleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b09e64-synthese-additive-des-couleurs

Synthèse additive des couleurs

Représentation de la synthèse additive des couleurs : En 1931, la commission internationale de l'éclairage (CIE) a fixé des primaires mathématiques de référence pour les calculs, en adoptant les longueurs d'onde suivantes : 1) rouge : chiffre rond de 700 nm, 2) vert : 546,1 nm (correspondant à une raie spectrale du mercure), 3) bleu : 435,8 nm (autre raie du mercure). Les couleurs secondaires obtenues par addition de deux couleurs primaires sont le magenta (R+B), le jaune (R+V) et le cyan (B+V). La somme des trois flux donne de la lumière blanche (R+B+V). La modulation de l'intensité des flux lumineux additionnés permet d'obtenir toutes les teintes intermédiaires. Source : wikipedia, Couleur_primaire.

Volets peints à Bucarest. Source : http://data.abuledu.org/URI/53618cf9-volets-peints-a-bucarest

Volets peints à Bucarest

"Fenêtre bleue" aux volets peints de Jurilovca, 1898, au Musée du Village Roumain (Muzeul National al Satului Dimitrie Gusti) de Bucarest : Un contrevent est un dispositif habituellement installé en extérieur devant une fenêtre ou une porte, qui peut être fermé pour se protéger de la lumière, des intrusions, des projectiles, des regards extérieurs ou comme élément d'isolation contre la chaleur, le froid, le vent et la pluie. Il est en général confondu dans le langage courant avec le volet, qui lui est installé en intérieur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Contrevent Les contrevents sont traditionnellement composés d'un panneau en bois plein sans fentes avec des gonds métalliques qui les fixent au mur à l'extérieur de la baie (le contrevent battant), ce qui permet de les placer de façon à obstruer l'ouverture. Historiquement, ces contrevents ont pu être des panneaux simplement accrochés par des pitons ; puis ils furent ensuite articulés avec des charnières et rabattus.